Aujourd’hui, la majeure partie des personnes n’ont plus honte d’assumer le fait d’avoir recours à la chirurgie esthétique. Non seulement c’est une discipline qui a su se faire une place dans le milieu de la médecine en général. De plus, la recherche de perfectionnement des techniques pour obtenir des résultats de plus en plus naturels lui permet de se démarquer de la vision qu’on en avait il y a encore 20 ans.
La médecine esthétique
Aujourd’hui, les techniques ont évolué pour obtenir des résultats plus naturels. Les chirurgiens esthétiques préfèrent des actes non invasifs pour gommer les premiers signes de l’âge. Pour estomper les premières rides et apporter un peu plus de tonicité à la peau, il est possible de faire un peeling, des injections d’acide hyaluronique, de botox ou encore d’utiliser le froid pour obtenir des résultats très satisfaisants sur des femmes ayant entre 30 et 50 ans.
Des chirurgies de plus en plus précises
Aujourd’hui, les praticiens ne procèdent plus nécessairement à des interventions de grande ampleur. Ils travaillent davantage sur des zones très ciblées. Premièrement, les suites des opérations sont moins importantes et le temps de convalescence est réduit. Deuxièmement, les résultats sont plus naturels. Par exemple, les cicatrices liées à une blépharoplastie (chirurgie des paupières) ou à une augmentation mammaire sont désormais pratiquement invisibles. Ce progrès est dû à l’utilisation du laser notamment.
Des interventions moins coûteuses
Procéder à des actes chirurgicaux plus ciblés et moins invasifs a permis de réduire considérablement les coûts des interventions et donc de démocratiser certaines opérations. Cela a permis d’ailleurs à de nombreux praticiens de se former à ces techniques pour pouvoir exercer à l’étranger. C’est le cas par exemple de ce centre de chirurgie esthétique au Maroc qui permet aux patientes de bénéficier des dernières évolutions et des procédés les plus récents. D’ailleurs, ce phénomène a pu contribuer à renforcer l’attrait touristique de destinations comme Marrakech.